De quoi parle-t-on ?

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Risques psycho-sociaux, stress, burn-out ou syndrome d'épuisement professionnel, souffrances au travail…, voici autant de termes et de « maux » indifféremment utilisés pour traduire le mal-être, le malaise ou la souffrance au travail.

 

Et dans ce domaine, les chiffres, et surtout leur évolution en permanente hausse, inondent le et les réseau(x).

 

A intensité variée, toutes les catégories de travailleurs et tous les domaines d’activité sont concernés désormais.

 

De la « simple » tension musculaire au suicide, en passant par les nuits d’insomnie et/ou la dépression, les symptômes et conséquences de ces troubles et difficultés sont variables, diverses, nombreuses et/ou particulièrement graves.

 

Face à cela, de nombreuses actions ont été, et sont encore, mises en œuvre :

 

--- Pour prévenir ces souffrances, l'idée est d'agir sur les facteurs de risques :

 

A titre d’illustration non exhaustive, pouvons-nous évoquer :

- La mise en place, dès 2008, d’un conseil supérieur de prévention des risques professionnels,

- Les nombreuses, voire innombrables, évolutions de la réglementation ces dernières années en droit du travail et des conditions de travail,

- Ou encore, la création du réseau ANACT (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail) qui trouve son origine dans la dynamique de la "Qualité de vie au travail", plus connue sous le célèbre acronyme « QVT »,

 

         --- Pour dépister et repérer ces situations de souffrance au travail notamment via le réseau que constitue aujourd’hui la médecine de ville,             la médecine du travail et les équipes de santé au travail, 

 

        --- Pour accompagner les individus concernés : outre un suivi psychologique, ces personnes sont fréquemment placées sous traitement                      médicamenteux.

 

Si la prise en charge des intéressés est bien entendu adaptée à la nature et à la sévérité des symptômes associés, force est de constater que les chiffres poursuivent leur fulgurante ascension.

 

Les solutions actuelles présentent ainsi d'importantes limites et les coûts humains comme les coûts sociaux s’alourdissent et pèsent de plus en plus.

• Par leur nombre et leur fréquence, les arrêts de travail désorganisent et coûtent à la personne concernée, à l’entreprise comme à la société,  

• Par les pathologies que ces souffrances engendrent (entre autres, addictions aux drogues, à l’alcool, au tabac, etc.), les coûts, humains, sociaux et sociétaux, engendrés sont ici encore, plus qu’astronomiques, etc.

 

Tout cela alors même que de nombreuses personnes concernées témoignent souffrir encore et encore de ces situations, après des années et des années.

 

Alors quoi ?

 

Qu’attendez-vous pour prendre conscience que la perte de productivité n’engendre aucune hausse de productivité ? Que les sphères, professionnelle et personnelle, sont intrinsèquement liées. Et surtout que d'autres solutions existent !

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Comme beaucoup, je me suis laissée happée par cette course infernale à la performance, au toujours plus et toujours plus vite jusqu’à cette fatigue intense, cet épuisement émotionnel, ce sentiment de vide abyssal qui, en outre, génère frustration, doute, culpabilité et inefficacité.

 

Vous savez cette sensation d’être devenue spectateur de votre vie qui défile dans sa routine quotidienne dénuée de toute passion !

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« Le burnout se situe dans l’écartèlement entre ce que les gens sont et ce qu’ils doivent faire » écrivent Christina MASLACH et Michael LEITER, deux spécialistes mondialement reconnus du burnout.

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Et si la seule maladie au monde était celle de ne pas être soi ! Pourrions-nous ajouter.

 

J'ai accompagné managers et dirigeants durant près de 20 ans en droit du travail et en gestion des relations humaines. Durant cette expérience très enrichissante, j'ai expérimenté tout l'arsenal juridique à disposition des entreprises ainsi que tester de nombreuses offres de coaching diverses et variées.

 

Aujourd'hui, j'en retire :

- d'une part, que le Droit n'offre aucune solution à l'Humain (mais ça, vous le saviez déjà !),

- et d'autre part, que le simple partage d'outils de "gestion du stress", " d'équilibre de vie pro-vie perso", etc. sont certes intéressants mais largement insuffisants dans le temps.

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Aussi, par une approche neuro-émotionnelle, j'accompagne désormais, managers & salariés à retrouver énergie, sommeil et efficacité sans  médicament.

 

Quel que soit le format d'intervention (séminaires, ateliers, séance individuelle ou collective, etc. à adapter suivant les besoins), nous parlons émotions, charge émotionnelle, activité chimique et neuro-chimique mise en place par le cerveau ou système nerveux, ou encore, perception, traitement, sélection et interprétation des informations reçues par le système nerveux.

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Tout cela, pour identifier et comprendre comment vie personnelle et vie professionnelle sont intrinsèquement liées et au delà de cette prise de conscience, permettre à chacun d'agir, de retrouver la liberté d'agir ou de ne rien faire, tout en reprenant en main la responsabilité de sa vie.

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Albert EINSTEIN disait "Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson à sa capacité de grimper à un arbre, il vivra toute sa vie en croyant qu'il est stupide."

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Avec beaucoup d'efforts, il est entendu que le poisson saura certainement apprendre à grimper et que le singe lui, apprendra à nager mais cette performance le sera au prix de la médiocrité comparée à l'excellence que dévoilera le poisson à nager et le singe à grimper​.

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Pour des salariés, des managers et des dirigeants pleinement épanouis ! ​​​